« Le Saint-Esprit seul peut prendre ce que la Croix a accompli et en faire l’expérience aux chrétiens. Si nous apprécions la vérité de la Croix sans laisser le Saint-Esprit faire de cette vérité une réalité dans nos vies, ce que nous connaissons n’est rien de plus qu’une théorie et un idéal. »
 
Tiré de : Watchman Nee ; L’homme spirituel ; éditions  Vida, Floride É.-U. ; 1991.
Cette démarche psychothérapeutique est perçue comme étant un processus en constante évolution. Ceci permet au client d’accueillir bonnement sa « maturité » psychologique et spirituelle, de développer ses nouvelles croyances et de ses nouvelles aspirations d’attachement à son Soi supérieur qui aura comme effets : d’irradiation et d’influence positive sur sa perception et sa vision de contentement qu’il entretient maintenant dans sa relation avec lui-même, les autres et le monde.
« …le savoir empirique que j’ai du Soi, je dois reconnaître que c’est le Soi que j’ai en tête lorsque je m’occupe de l’idée du Christ. »
 
Tiré de : Jung et la croyance religieuse, dans La vie symbolique, p.191.
« Le psychanalyste zurichois définit le Soi en terme d’imagio Déi, image du divin en-soi. Depuis Descartes, la conception dualiste de l’être humain, substance pensante accolée à un corps, a connu des succès. Le terme âme a ainsi perdu sa densité et est devenu impopulaire. C’est pourquoi nous privilégions l’emploi du terme « Soi » sur celui « d’âme ». Voir : De la spiritualité du Soi à la foi chrétienne  . Il s’agit de la troisième partie de l’ouvrage de Jean Monbourquette O.M.I.
 
Tiré de : De l’estime de soi à l’estime de Soi ; de la psychologie à la spiritualité ;
Éditions Novalis ; Ottawa, 2002.
Ainsi, en se détachant à vouloir porter seul, ses difficultés, ses  divers fardeaux que représentent ce que nous appelons : nos dualités, nos ombres, nos luttes, nos sous- personnalités, nos discours internes et de nos croyances, nos illusions de notre toute-puissance infantile ainsi que nos divers combats personnels à l'intérieure de nos différentes sphères : (intrapersonnels, interpersonnelle, extrapersonnelle et transpersonnelle);  la relation d’aide psychospirituelle en travail social et en psychothérapie permet dans le cadre d’une relation chaleureuse et de non-jugement d’aider le client à se libérer de l’emprise de son faux soi. Cette libération permet au client de faire le deuil de ses anciens modèles dysfonctionnels, de ses faux attachements à lui-même, aux autres et au monde qu’il maintenait et manifestait à l’égard de lui-même, l’autre et le monde.
 
Dans le contexte de cet ouvrage, la démarche psychospirituelle donne l’occasion d’aider le client à s'éveiller à sa croissance personnelle autant au plan horizontale que  verticale, se pardonner lui-même et à se libérer de ses illusions passionnelles de sa toute-puissance infantile et de laisser-aller ses anciens mécanismes de défense maintenant qualifiés de dysfonctionnels, donc de désuets. Le client apprend, à se donner un nouveau sens à sa vie, à clarifier sa nouvelle mission en soi éclairée par son Soi.
« Celui qui croît fermement en Dieu et en sa Providence, est certain de recevoir de Lui en toute circonstances d’aide et protection, et n’a plus dès lors à craindre ni circonstances, ni adversaire quelconque, ni la mort elle-même. Ps : 3, 25-26 ; Ps : 22,4 ; Ps : 26, 1,3 ; Héb : 13, 5-6».
 
Jean-Claude Larchet ; L’Inconscient spirituel ; éditions cerf, France, 2005.
La liberté, le sens à ma vie, l’amour, la joie, la paix, la responsabilité, l’engagement, la patience, la persévérance, l’humilité, la bonté, la gratitude, etc. sont tous des valeurs (des vertus pour certains de nous) formidables et essentielles sur le terrain qui nous préoccupe particulièrement comme psychothérapeute et travailleur social. Aider l’individu qui consulte en psychothérapie spirituelle à découvrir sa valeur spirituelle fondamentale comme étant « le bien le plus recherché », c’est de l’inviter à découvrir son potentiel pleinement humain qui sommeille en chacun de nous.
 
L’étape suivante est d’apprendre par la grâce de son Soi, à honorer son engagement envers lui-même et les autres.
 
Par des exercices, pratique et par la réflexion, la clarification des valeurs, la contemplation de l’Amour, la Bonté, la Joie, la Paix, l'Adoration, etc. donc aux valeurs illimitées. Comme chrétien, c'est de pouvoir se lier librement à notre Être supérieur, à notre Dieu en Jésus-Christ, notre le vrai Soi. Le client arrive à se questionner sur ce qui le fait souffrir avec lui-même et avec les autres. En effet, ce n’est pas uniquement par la prise de conscience qui conduit à la guérison, mais dans l’action et la pratique quotidienne d’accueillir « quelque chose plus grand que soi », qui inévitablement « veut notre bien », et ce, dans tous les sens du terme. Notre véritable source lumineuse en nous provient de notre Soi. Le vrai Soi cherche à éclairer notre être, notre soi, notre conscience, notre culpabilité et nos valeurs qui peuvent parfois s’avérer à la fois contradictoires et illusoires pour notre intégrité et notre bien-être personnel.
 
La démarche psychosociale et spirituelle en psychothérapie aide le client à faire face à ses combats et ses luttes, à ses illusions de ma toute-puissance infantile. Cette démarche permet au client d’accueillir ses passions qui pratiquement l’on fait souffrir se déguisant sous l’imposteur du faux plaisir. Au-delà de la confusion, de l’ambivalence, le client apprend parfois avec déchirement et quelques fois par soulagement à se libérer de ses passions nuisibles, de ses illusions, de faire le deuil en quelque sorte de mon faux moi, de ses ombres en soi et de se défaire de tous ses attachements faux qu’il s’est construits et fabriqué au cours de son histoire et de son récit à lui-même ou en en-soi même, et ce, par rapport aux autres et au monde.
 
Par une action saine, par exemple, se donner un simple geste d’amour et de compassion envers soi-même, le client apprend à s’accueillir tel qu’il est réellement : une personne humaine avec ses qualités spirituelles et ses petits défauts charnels qu’il chérissait. Le client apprend qu’il n’est pas parfait et que la perfection n’est pas dans ce monde. Le client apprend à se donner comme motif premier : s’accueillir comme être humain, c’est-à-dire : sa partie à la fois charnelle et sa partie à la fois spirituelle. Par la suite, le client cherchera à comprendre, entre autres, à vouloir guérir ses blessures archaïques/primaires, de se libérer de sa souffrance psychique et spirituelle en s’appropriant avec maturité et discernement de ses expériences singulières à partir de mon vécu, de son individualité et de ses ressources. L’individu qui cherche à grandir au plan psychospirituel découvre son besoin réel à vouloir développer les caractéristiques et les qualités que compose sa volonté, c’est-à-dire sa volonté bonne, joyeuse, habile, forte, transpersonnelle et universelle en développant le goût aux valeurs illimitées qui en quelque sorte le rattachent à sa véritable nature humaine : son « spirituel ».
« L’inconscient spirituel est ignoré par les psychanalyses freudiennes qui dans son fondement sont : athée et matérialiste ». « Les maladies spirituelles correspondent à des passions que les pères qualifient de « coupable»…
 
«... chaque personne développe une pathologie psychique relative à sa pathologie spirituelle…».  « On peut donc considérer que la responsabilité
« morale » ou l’état du péché est à priori identique chez l’homme malade et chez l’homme déchu prétendu sain ».
 
« La thérapeutique spirituelle ne doit pas être confondue avec une thérapeutique psychique ». « La nature et la finalité des thérapeutiques spirituelles doivent être absolument respectées, d’autant plus qu’y intervient, comme source de guérison, la grâce… ». « Le malade est une victime, le plus souvent de son milieu et de ses relations familiales ».
 
« La vie en Christ réside dans une coopération du divin, dépendant proprement de Dieu, et de l’humain, à savoir notre bonne volonté, notre effort, notre zèle. »
 
Tiré de : L’inconscient spirituel et Thérapeutique des maladies spirituelles;
Jean-Claude Larchet; éditions Cerf; Paris, 2005 et 2008.
La spiritualité est généralement associée à la vie éternelle, au sens de la vie, à sa mission, qu’on se donne, et ce, à partir des grandes vérités humaines portant sur la souffrance, la maladie, et la mort. Chacun de nous possédons une spiritualité, des valeurs, des croyances uniques sur le soi et sur le grand Soi. Certains d’entre nous acquièrent plus de maturité dans leur spiritualité tout comme d’ailleurs, dans leur maturité  psychologique.
 
La spiritualité humaine conduit  essentiellement à des démarches qualifiées de prise de conscience qui ne sont pas uniquement intellectuel, mais peuvent également relever du monde corporel, du mental, du mystique, de l'émotion, d’une sensation, etc.  La personne recherche avant tout une relation intime de bien-être avec son Créateur, son Soi supérieur.
 
L’éveil spirituel est une des quêtes de la spiritualité en général chez la personne humaine. Cette dernière l'amène comme personne unique à contempler l’Absolu et quelques fois l’amène à le repousser, voire même le rejeter. Certains préfèrent se placer sous la surveillance d’une religion, d'une assemblée ou encore préfèrent suivre les membres qui la composent. Néanmoins, « la spiritualité » est plus que cela! En général, la « spiritualité » nous place devant notre condition terrestre, c‘est-à-dire : devant notre condition humaine, donc charnel pour employer la définition théologique paulienne. C'est-à-dire, qui possède une qualité du type « charnel » donc, temporel versus notre « spirituel » qui possède une qualité du type éternel.
 
Un exemple du charnel, serait qu’ils nous arrivent tous à un moment donné, à vouloir se justifier passionnément en optant par  nos gestes, nos actions, nos réactions et nos surréactions, comme si notre existence comme être humain en dépendait totalement de ce comportement, et ce, à nos propres yeux et aux yeux des autres, le choix de notre comportement.
D'ailleurs, « C’est Paul de Tarse qui fait la distinction entre l’homme « spirituel » et l’homme «charnel». La personne « charnelle » juge de tout, même des relations religieuses avec l’Être suprême, en fonction de critères purement terrestres. La personne « spirituelle », au contraire juge de tout, même du terrestre, suivant les critères de la relation avec un Dieu personnel, révélé comme l’amour et la vérité même. »
 
Tiré de : Père Yvon St-Arnaud,
La guérison par le plaisir; éditions Novalis, Ottawa, 2002.
À partir de certains exercices, le client est invité à se questionner sur ses quatre sphères de valeurs:
 
1) les valeurs personnelles
2) les valeurs interpersonnelles
3) les valeurs extrapersonnelles
4) les valeurs transpersonnelles
 
Par la suite, le client est invité à s’attarder sur cette valeur en précisant : les sentiments, la réflexion, la communication, le choix et l’action à savoir, comment ces valeurs  nous pouce à l’équilibre, à la congruence et à l’harmonie entre notre être et notre faire. Enfin, le client est demandé de réfléchir particulièrement sur « le comment », actualiser le potentiel et la mise en marche de ses valeurs fondamentales et à moins mettre l’emphase sur le « pourquoi » il n’y arrive pas. Enfin, la contemplation de ses nouvelles valeurs, l’amène à considérer un niveau être et de faire différent à savoir « comment » il pourra les atteindre, les réaliser ou encore s’engager à les honorer bonnement dans sa vie quotidienne.
 
Par des exercices non verbaux : la respiration, la relaxation, la méditation, la prière, le client identifie ses valeurs fondamentales et de sa façon dont il pourra composer avec elles, c’est-à-dire avec ses quatre sphères de valeurs. Dans ce processus, qualifié de « mentalisation » le client arrive parfois à découvrir avec parfois une grande surprise, qu’il a placé en soi, une valeur supérieure à une autre, qui pratiquement le fait souffrir. Le client peut à la fois se sentir « coupable », « frustré », « irrité », etc., mais effectivement, il n’arrive pas pour le moment à y renoncer, et ce, pour différentes raisons.
 
La thérapie psychospirituelle permet à l’aidé d’apporter une réflexion, une remise en question, une certaine mise au point portant sur ses valeurs en général. Cette démarche permet à l’aidé d’accueillir et respecter les valeurs fondamentales qu’il méconnaissait. D’ailleurs, la démarche permet de se réajuster et de corriger les lacunes qui se sont introduites dans notre vie.
 
Également, par la mentalisation, l’étude et la clarification de ses valeurs et de ses attentes ainsi que de la valorisation de ses valeurs, le client arrive à se questionner sur ses actions, ses gestes et le mode pour la mise en application pratique, au quotidien de nos valeurs. Mentionnons que certaines de nos valeurs sont parfois conscientes et parfois, elles sont inconscientes, qualifiées de rigides et donc inflexibles, et ce, au détriment de nos différentes valeurs que nous possédons toutes à l’intérieur de nous, mais à de divers degrés, selon la quantification rattachée.
 
Est-ce que mes valeurs actuelles me permettent d’être en parfaite harmonie ou en contradiction avec soi-même et/ou avec les autres? Entre autres, est-ce que le déséquilibre ressenti dans mon corps, mon psychique, mon social, mon spirituel m’amène à souffrir davantage comme être humain? En bref, est-ce que mon corps et mon esprit, ou encore, mon âme et ma pensée sont-elles en congruence, en équilibre, en harmonie avec mes valeurs dites « spirituelle »?
 
C’est l’ensemble de nos valeurs spirituelles humaines et de sa mise en application pratique, que l’être vivant, l’être humain se distingue dans l’accomplissement de ses besoins, de ses réels désirs, de sa mission, de son projet de vie personnelle et parfois de son collectif.
 
L’objectif de notre spiritualité vise essentiellement notre détachement aux objets, aux endroits, et aux personnes qui nuisent à notre relation avec soi-même, les autres et en occurrence avec notre relation personnelle avec notre Être supérieur, Dieu en Jésus-Christ, notre grand Soi.
1) Ai-je choisi la valeur parmi une gamme d’autre choix dont j’avais connaissance ?
 
2) Ai-je envisagé les conséquences des autres choix dont j’avais connaissance ?
 
3) La valeur transparaît-elle dans mon comportement ? C’est-à-dire, l’ai-je mise en
    pratique récemment ?
 
4) Ai-je des façons d’appliquer à répétition cette valeur en diverses expériences
    comparable ?
 
5) Suis-je heureux et satisfait de mon choix ?
 
6) Suis-je disposé à l’affirmer publiquement ?
 
7) Est-ce que telle valeur favorise mon évolution vers un bien-être affectif et spirituel
    plutôt que de le gêner ?
 
Tiré de : Raymond Laprée,
La psychagogie des valeurs, symboliques et
imaginaires en éducation, éditions logiques, Montréal, 2000.
En psychothérapie le client qui consulte spécifiquement pour obtenir une thérapie psychospirituelle, recherche avant tout une guérison psychique et morale de ce qui le fait souffrir. Le client cherche à apaiser sa souffrance pour atteindre l’équilibre psychique et spirituel dans sa vie et également dans les différentes sphères de sa vie incluant la sphère transpersonnelle ou  « spirituelle ».
 
Pour déterminer si une chose donnée est une valeur ou non, je devrais me poser les questions suivantes sur mon système de valeur:
« Fort à la mode aujourd’hui, le mot « spirituel » comporte malheureusement plusieurs sens. Certains sont fondés sur des perspectives justifiables, mais d’autres sont tirés d’interprétations fantaisistes pour ne pas dire contradictoires. Voici quelques lignes directrices pour y voir plus clair :
 
1) Selon l’étymologie, le terme « spirituel », spiritualité, viennent du vocable « esprit » souffle de vie qui se retrouve dans toutes les langues classiques et bibliques. Dans ces langues, le mot « spirituel » tend toujours à désigner, chez les êtres personnels, l’élément, qui semble à la fois essentiel et insaisissable. Cet élément les fait vivre et leur donne en même temps le pouvoir de trouver du sens, voir un sens ultime, à leur existence. Dans cette perspective, le « spirituel », demeure en chaque être personnel, ce qui est le plus lui-même, ce qui émane de sa nature sans qu’il puisse le détruire ou l’empêcher…
 
2) Par ailleurs, aujourd’hui le terme « spirituel », s’emploie souvent dans le sens cosmique présentée surtout comme une énergie mystérieuse, investie de pouvoir extraordinaire : le pouvoir d’agir à distance, par exemple, de voir ou d’entendre à travers des obstacles physiques les plus étanches, de faire bouger par la simple pensée des objets, des corps inertes, par nature. On donne encore à cette énergie la puissance de guérir à distance, toujours par la seule pensée d’une personne par rapport à une autre. Dans ce contexte, on parle beaucoup des esprits, des anges, de Satan, des guides spirituels avec lesquels il serait possible de communiquer par des techniques précises. Ces esprits semblent peupler notre Univers et peuvent nous être favorables ou défavorables. À noter qu’ici que le spirituel n’est jamais défini comme une réalité personnelle, mais comme une force impersonnelle, un grand tout formé d’un nombre incalculable de parties dont la destinée serait de fondre en lui…
 
3) Pour beaucoup de personnes, le terme « spirituel », renvoie d’abord et par-dessus tout au « religieux », c’est-à-dire à la relation personnelle avec Quelqu’un qu'on considère comme étant plus grand que soi, que l’on expérimente comme l’Être suprême, doué d’intelligence et de liberté. Dans ce contexte, on parle de « vie spirituelle», comme d’une vie dans laquelle les pensées, les volontés, les agir, tentent de se conformer le mieux possible aux intentions de cet Être suprême. Cette vie nécessite la fidélité et des rites propres à favoriser la conformité personnelle aux volontés de L’être suprême…
 

4) Le mot « spirituel», concerne enfin ce que l’on appelle habituellement « Église » ou « institution religieuse» (religieux dont font partie comme religion, assemblée, groupe, communauté). Celle-ci est organisée comme une société, avec ses autorités, ses lois, ses divers systèmes de récompenses et de sanctions. Certaines personnes qui n’admettent pas cette organisation, mais se disent « religieuses » quand même, qualifient leur religion de purement spirituelle… »
 
Tiré de : Père Yvon St-Arnaud,
La guérison par le plaisir; éditions Novalis, Ottawa, 2002.  
La « spiritualité » en travail social et en psychothérapie se définit comme étant une aspiration personnelle qu’un individu tente d’atteindre ou encore comme étant une source intarissable qu’une personne se sent interpellé à se joindre librement pour se compléter. Selon la définition du Le Petit Robert - « … propre ou relatif à l’âme, en tant qu’émanation et reflet d’un principe supérieur, le divin. La vie spirituelle. Qui est d’ordre moral n’appartient pas à la mesure sensible au monde physique ». Il existe en effet différentes définitions pour le terme « spirituelle ». La citation qui suivra donne à notre avis, une juste appréciation de ce terme.
Voici notre perception, notre vision personnelle portant sur la dimension « spirituelle » que nous retrouvons dans le titre de notre entreprise.
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Qu'est-ce que la spiritualité en relation d'aide?
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Dernière modification :
7 novembre 2023
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